je n'étais pas sage

Aujourd'hui n'est pas n'importe quel jour, c'est l'anniversaire de mon Petit Mec, devenu déjà bien grand...

10 ans ! le temps passe à une vitesse folle. Je me souviens encore de sa naissance, j'ai des tonnes d'images en tête de moments partagés... On prend un coup de vieux, on prend un coup de blues !!

Les enfants grandissent, ne laissant derrière eux que les bons souvenirs de ces moments de joie. Les mauvais moments, on n'y pense guère car ils ne sont pas importants. Tous ces souvenirs que nous emmagasinons, et tous ceux que nous oublions !!!

C'est drôle de fêter les 10 ans de son enfant. C'est le sortir officiel de l'enfance, bien que les experts donnent l'âge de 9 ans comme étant le début de l'adolescence. 10 ans c'est un cap, surtout pour mamounette au final ^^

Le principal étant qu'il soit heureux, en bonne santé et que tout aille pour le mieux pour lui. Je suis fière de lui, c'est un gentil garçon, qui a des valeurs et qui parlent de ses sentiments. Je ne suis pas peu fière du résultat de l'éducation que nous lui avons donnée. Certes, il a ses défauts aussi notre Petit Mec, mais des défauts peu importants (manque d'organisation, et têtu), il a surtout de belles qualités humaines, il est curieux et doué dans les apprentissages, il sait aider, il est responsable et ouvert, il est attentionné, sensible, courageux... Bref il a toutes les qualités du monde qui feront de lui un bel adulte. Je suis fière de lui et je ne cesse de le lui dire.

Bon anniversaire mon Chéri ^^

Mercredi j'ai emmené mes filles et leurs copines au cinéma pour voir La guerre des boutons, la version avec notamment Mathilde Seigner.

J'ai adoré !!! J'ai ri aux éclats, j'ai pleuré comme une madeleine et j'ai été déconnectée de la vie de tous les jours avec son lot de soucis. Un film extra que je recommande.

Depuis le 6 octobre, c'est-à-dire depuis hier, le blog de l'école est né, et celui des classes aussi. Le mien est déjà bien garni... Non que je n'avais rien à faire hier soir pour préparer ma classe, mais cette création de blog m'a donnée du coeur à l'ouvrage ! Depuis le départ de mon mari j'étais presque léthargique une fois rentrée à la maison (heureusement que j'avais préparé ma semaine avant !!!), je n'accomplissais que le minimum vital parce que j'étais déprimée et fatiguée le soir.

Hier soir entre l'aide personnalisée après la classe de 16h30 à 17h30 et la réunion de conseil des maîtres qui s'en est suivie (pour parler justement de la création du blog), je suis rentrée chez moi peu après 18h30 (j'habite à 1.5 km de l'école ^^), j'étais épuisée de cette longue journée, mais motivée par l'alimentation du blog. Alors je m'y suis attelée 4h durant. Je n'ai pas vu les heures passées et je me suis couchée satisfaite et même heureuse.

Nous parlions de cette création depuis 3 ans, car nous avons été dotée du matériel informatique des Ecoles Numériques Rurales avec un tableau blanc interactif et de 12 ordinateurs portables pour les élèves, plus un pour l'enseignant, avec imprimante. Bref, un joli cadeau (presque empoisonné au regard des mises à jour à effectuer, des dépannages et du manque de formation pour maîtriser la technologie du TBI), mais depuis 3 ans, j'attendais la création de ce blog par conviction que cela motiverait les élèves en permettant de faire connaître nos activités et nos travaux à la famille. Nos blogs de classe ne sont pas en libre accès, et c'est tant mieux. Mais les parents vont pouvoir davantage se rendre compte de tout ce qui est mené en classe et c'est important dans le pacte de confiance qui lie les familles aux enseignants. Mieux vaut les avoir avec nous, que contre nous. Tous les enseignants rencontrent dans leur carrière des parents consommateurs d'école et qui sont toujours là à pinailler sur des futilités, ne voyant pas l'esentiel: notre investissement et notre professionnalisme. Parfois cela dérape même... Ce sont des situations que nous voulons tous éviter, et pour cela, la communication enseignant-parent autour de l'enfant-élève, mais aussi la communication des travaux réalisés en classe me semblent importants.

La motivation des élèves va être boostée. Les parents vont être ravis de suivre davantage leur enfant à l'école et donc rassurés. Alors voilà, une bonne chose de faite ! Maintenant, ce sera une alimentation régulière du blog qu'il va falloir instaurer, ce qui restera moins fastidieux quand même que la mise en route ! 

Cette année scolaire aura commencé de manière mouvementée. J'ai d'abord eu 22 CP et 5 GS. Une mise en route qui ne s'est pas trop mal passée. Mais le mardi après-midi nous avons eu l'annonce d'une ouverture de classe. Une très bonne chose pour les élèves et les enseignants, mais quel bazar !!! J'ai dû travailler le mercredi d'arrache pied car ma classe a été remodelée: 7 CP et 18 GS. Ce qui change totalement la physionomie de la classe et le travail à mettre en oeuvre !

Surtout quand on sait que mon Atsem (extra heureusement pour moi) est peu souvent avec moi. Alors pour gérer les ateliers des GS, il fallait tout repensé; du stress, de la fatigue et une 2è rentrée !

Et puis les choses se sont tassées, la 2è rentrée s'est passée à merveille. Je suis enseignante depuis 4 ans, dans la même école (titulaire de mon poste) depuis 3 ans. Une chance inouïe pour un début de carrière. C'est la 1ère année où je me sents sereine, parce que je sents que je maîtrise ce que j'ai à faire et je sais que je fais des choses bien.

Au début je me mettais trop de pression, je voulais faire des choses parfaites, ça m'a coûtée ma santé, des distensions dans mon couple, une dépression... Et puis un jour j'ai été chez un médecin généraliste qui m'a dit qu'il fallait que je relativise. Car si mes semaines faisaient 10 jours et mes journées 48h je travaillerai toujours autant et je n'aurais pas plus le temps de me poser... Il faut donc accepter de ne pas être parfait dans son travail, faire son travail c'est tout ce qui compte ! Alors si je n'ai pas eu le temps de préparer mes cahiers d'écriture, ou que je n'ai pas mis le nez dans mon livre du maître pour la leçon de maths des CP, et bien j'avoue: je n'ai pas de scrupules ni de stress. Et les choses se passent impeccablement bien ! Je respecte mes progressions, nous bossons bien. Nous ne restons pas que sur les fondamentaux "français et maths" que ce soit avec les GS ou les CP, nous faisons des sciences, du sport, de la flûte à bec, de l'anglais, de l'instruction civique et morale, de la pratique artistique... Tout ça, sans stress, sans que je me dise "mince, je n'ai pas assez préparé, j'ai oublié telle ou telle chose, il me manque ça et ça..." l'an passé, j'ai souvent zappé les sciences par exemple. Il fallait que je me focalise sur la lecture et les maths des CP, nous avons super bien travaillé avec les GS l'écriture, la prélecture, les maths... Mes élèves de GS sont quasiment tous sortis lecteurs et leur début de CP se passe très bien. Le bilan est donc positif de ma 1ère année en GS/CP. Mais j'ai zappé beaucoup de choses. On ne peut pas être partout en même temps.

Cette année, je me sents bien. Je sais que je bosse bien avec mes élèves (même si je n'ai pas l'art et la manière des EMF (enseignant maître formateur)), j'ai confiance en moi et en mon travail. Les parents le ressentent forcément aussi. Je suis compétente en un mot et du coup, ça m'enlève un fardeau des épaules. Et de ça, découle une meilleure gestion du temps, une meilleure gestion des différents apprentissages et je me sents d'autant mieux !!!

Mes élèves sont extras. J'ai 7 CP qui étaient prêts pour la lecture, qui sont autonomes et qui comprennent vite et bien. Un régal de travailler avec eux. Et mes GS, ils sont bien aussi. J'ai quelques élèves difficiles en comportement, mais ils commencent à comprendre qu'en GS on est grand, et qu'on est là pour travailler. Deux ou trois élèves qui ont quelques difficultés, qui se mettent la pression (comme moi les 2 années passées) de vouloir dès le début faire un travail parfait, mais les choses vont rentrer dans l'ordre car ils sont capables. J'ai juste 2 élèves pour qui je suis plus inquiète et pour qui je dois plus réfléchir et étudier, analyser le comportement, les erreurs, les difficultés... Mais 2 élèves sur 25, on peut dire que j'ai une bonne classe. Je suis vraiment satisfaite, très satisfaite de ce remaniement de début d'année.

Maintenant, y a plus qu'à travailler !!!

Al a eu son premier week-end de permission le week-end dernier. Il a bien profité de son ordinateur, de jouer avec ses soeurs et de faire des parties d'échec avec moi. Nous n'avons rien fait de bien spécial. Je crois que c'était important pour lui de se poser un peu et faire presque ce qu'il a envie pour décompresser.

Depuis son retour au collège, il semble un peu plus triste, et m'a même demandé de venir le chercher ce week-end... Mais alors passer 14h sur la route pour à peine 18h à la maison (moins les 9h de sommeil), ça n'est pas vraiment possible pour moi avec tout ce qui est en suspend pour le quotidien et notamment les papiers à faire (y en a une tonne) sans compter mon boulot de préparation pour l'école... Enfin bref, une autre fois, ça serait faisable, mais là, j'en suis juste incapable. De quoi culpabiliser bien entendu... Mais j'en suis incapable. Il n'est pas facile pour lui de vivre loin de sa famille, il a un an de moins que ses camarades. Cela se ressent sur son autonomie, mais il est responsable et capable de s'adapter. Je n'espère pas me tromper !! mais j'y crois fermement.

Bien sûr, grandir cela comporte son lot de peur, d'angoisse mais en même temps d'envie, de joie et de Bonheur. Etre interne à 10 ans, ça n'est pas facile, mais c'est une chance d'acquérir une autonomie et surtout dans son cadre à lui, d'apprendre les valeurs et les règles de vie en société, les règles de respect et d'altruisme... Il est bien encadré et dans une bonne situation. Certes inconfortable en ce moment, mais je sais que c'est passager et que les choses vont rentrer dans l'ordre. J'ai confiance en lui et je reste convaincue de la chance qu'il a eu d'intégrer ce collège. Il faut aussi apprendre à prendre du recul et lorsque nous nous sommes retrouvés et lorsque nous nous retrouverons les prochaines fois, nous en parlerons.

J'ai de meilleurs liens avec lui, il se confie bien plus à moi que lorsqu'il était à la maison. Nos rapports sont très bons, et j'en suis très heureuse. C'est important aussi à mon sens.

Dans 2 semaines, ce sera les vacances, 2 semaines, ça passe vite et nous profiterons bien de ces 10 jours qui seront les bienvenus pour tout le monde.

Dans 5 jours c'est son anniversaire, il va recevoir beaucoup de cartes de ses amis, de la famille, d'amis à moi, de sa maîtresse de CM2, et même recevoir 2 colis. Un de ma part, et l'autre de sa tatie Sev. Il sera fou de joie et cela lui mettra du baume au coeur et cela lui permettra d'avoir le moral pour passer les 10 jours qu'il restera avant les vacances.

J'ai hâte qu'il reçoive son courrier, j'imagine sa joie.

ça y est, nous y sommes, c'est le début de l'opex de mon mari ! Déjà une semaine écoulée...

Après un faux-départ il y a 10 jours, il est rentré le lendemain, et reparti finalement le 30 septembre. Arrivé à bon port cette fois ! Ce ne fût pas sans péripéties! En tout cas, ça m'a mis un sacré coup au moral, même si durant deux jours nous avons pu profiter de faire des tonnes de choses que nous n'avions pas eu le temps de faire ! Comme tondre le jardin (une poisse pour moi, comme si je n'avais que ça à gérer !!!), faire du shopping et un petit resto en famille. Nous avons passé deux journées ensoleillées fort agréables, même si je travaillais le dernier jour et que les filles aussi avaient école.

Depuis la semaine dernière, je me sents fatiguée, mélancolique et même déprimée surtout le soir, une fois que les filles vont se coucher... Heureusement pour moi que je travaille et que mes journées sont bien pleines avec les préparations diverses qui m'incombent. Je peux au moins penser à autre chose la journée, et cela me semble fort important ! C'est la 8è opex, et je me demande comment je gérais ça du temps où je ne travaillais pas et que les enfants étaient petits... La difficulté supplémentaire tient au temps de cette opex, 6 mois, psychologiquement ça en impose! La moitié d'une année, une absence pour les fêtes de fin d'année... Enfin, il s'en passe des choses pendant 6 mois ! Mais bien évidemment, ça va le faire, et comme toujours nous ressortirons encore plus forts de cette épreuve. L'idée des retrouvailles aide beaucoup quand même à faire passer la pillule. Car Les Retrouvailles... ça, je ne les échangerai pour rien au monde, et elles se valent au prix de ces absences. C'est une expérience unique je trouve, et ni lui ni moi ne regrettons son métier et ses contraintes.

Passer une bonne opex, ça demande dans un premier temps un temps d'adaptation. Il faut apprendre à vivre autrement, prendre de nouvelles habitudes et c'est l'occasion idéale pour les bonnes résolutions !!!  La présence d'amis, de collègues, de voisins... ne remplace pas l'absence de celui que l'on attend, mais elle est essentielle.

Lorsqu'on est épouse de militaire, on vit presque obligatoirement loin de la famille. Chacun a ses impératifs, ses soucis, sa vie. Pas facile d'être présent... dans un sens comme dans l'autre. Alors les amis, les collègues et même les connaissances sont notre soutien indispensable.

Je me souviens la 1ère opex à 6 mois, c'était l'Afghanistan, en 2010 au moment du décès des 10 soldats français. J'ai (mise à part ce mois d'août) très bien vécu cette opex parce que tout le monde prenait de mes nouvelles, des nouvelles de mon Doudou... Il n'en fallait pas plus, je me sentais épaulée.

Cette fois-ci, c'est pareil. J'ai des collègues extraordinaires que j'adore et que j'apprécie énormément. Nous ne sommes pas forcément toujours dans les confidences très personnelles, mais un lien est là, sincère et je sais qu'en cas de besoin je pourrais compter sur elles. Et puis il y a ces amis avec qui nous avons partagé déjà tant de choses... Ces amis presque plus présents que certaines personnes de la famille. Toujours là pour aider, pour dépanner, pour passer boire un café ou une bière. Ces personnes que l'on rencontre au gré des mutations et dont vous savez reconnaître la sincérité, la gentillesse et l'intégrité. Alors je sais que je ne suis pas seule et j'apprécie ces personnes qui m'entourent. Cela contraste avec les personnes de la famille qui font tout pour semer la zizanie et me faire passer pour la peste noire et maligne de la famille. On choisit ses amis, pas sa famille. Le problème, c'est que lorsqu'on a des distensions importantes et sans retour, avec les "amis", facile : on les évince de notre vie. La famille on la recroisera forcément... Quelle poisse !!!!!!

Enfin voilà, c'est un début d'opex assez difficile pour cette 8è édition, mais je suis confiante et sereine; tout ira bien !!!

Al n'aura que 10 ans en octobre... je suis retombée sur des photos de mon Petit Mec petit... on a beau l'entendre et le répéter à notre tour, ça passe très vite ! Car Al peut non seulement s'asseoir devant dans la voiture et regarder la télévision certains soirs... il va rentrer au collège et pas n'importe lequel puisque ce sera le collège militaire d'Autun.

Certes il est encore jeune, et on est en droit de se faire une idée un peu rude du fonctionnement... Il y a sûrement un côté rude. Passer du cocon familial à un internat, avec des copains et des règles à respecter, ça n'est pas nécessairement drôle. Il faut en tout cas un temps d'adaptation. Pourtant partir en internat dans un collège militaire c'est tout sauf une punition. C'est une chance inestimable pour nos enfants. Il y a des règles, c'est vrai, mais la différence profonde avec n'importe quel autre collège public, c'est que là les règles sont respectées. Les enfants sont en uniformes, donc pas de jugement sur les tenues vestimentaires (parfois ahurissantes surtout pour les filles, bien que les pantalons qui descendent sous les fesses fassent vraiment négligé). Les élèves apprennent à ranger leur armoire, à mettre leur sac de linge sale à laver, à respecter les autres, à vivre ensemble c'est-à-dire apprendre à faire des concessions... Ils ont droit à leur portable, en dehors des heures de cours (rien de plus hallucinant pour moi que ces ados qui envoient des sms pendant la classe, qui se moquent de faire sonner leur portable ou de le faire vibrer sur la table ...) après un temps libre, c'est étude obligatoire avec des personnes à leur écoute et capable de les aider. Certains créneaux permettent d'accéder à la salle jeux vidéos, dans un foyer neuf et bien pensé les enfants peuvent acheter des cochonneries à manger et à boire (perception de 10€ d'argent de poche tous les quinze jours, ils apprennent donc à gérer leur argent) ils peuvent aussi acheter une heure internet pour jouer, discuter ou voir leurs proches ou leurs amis... Bien entendu de très nombreux créneaux sportifs et culturels sont en place. Les enfants peuvent ainsi s'investir dans différentes associations. Ce que je ne pourrais jamais offrir à mon fils. D'abord pour le coût, ensuite pour l'organisation de la famille et enfin parce qu'à côté de chez soi on n'a pas nécessairement les infrastructures nécessaires... en tout cas pas quand on habite à la campagne loin des grandes villes ! Les sorties en ville, les sorties cinéma avec un binôme, les punitions existent, mais les récompenses aussi. Tout est fait pour valoriser les élèves et les faire grandir.

Enfin bref, on peut me jeter la pierre et tenter de me convaincre que ce choix n'est pas terrible pour Al, moi je suis convaincue qu'il aura plus de chance de faire de bonnes études au vue des conditions d'encadrement et du cadre de vie sain qui lui est proposé, ça se discute, mais notre choix est fait et dans 10 jours c'est le grand jour de l'incorporation !!!! Nous avons tous hâte, surtout Al'.

J'ai commencé à préparer ma rentrée 2011-2012 début juin. Les semaines étaient bien remplies mais j'ai souhaité prendre de l'avance... et j'ai bien fait !

Durant les vacances scolaires qui jalonnent l'année, je n'ai pas de répit véritable. Les deux semaines de vacances sont toujours appréciables pour remettre un peu d'ordre sur mon bureau à l'école comme à la maison et pour rattraper ce qui n'a pas pu être fait à la maison, et il y en a ! Alors les véritables vacances pour moi sont celles de juillet-août. J'ai pu poser mes affaires et penser à autre chose.

Mais ça y est, il est temps de reprendre le chemin de l'école pour préparer les tables et le programme des premiers jours. On a beau faire une préparation par périodes, étalée déjà sur l'année pour savoir où on va, tout reste à faire: savoir quel support choisir... et j'en passe !

Je me retrouve avec des GS/CP pour la 2è année consécutive. J'habite dans le village où j'enseigne, un luxe en tant que maîtresse me direz-vous... pas forcément, mais il faut bien tirer parti des avantages que cela apporte, et il y en a!

Je vais pouvoir installer mes tables, mon bureau dès ce week-end, et me projeter dans l'année qui arrive à grands pas notamment par rapport aux sorties éducatives. Plus je prépare, et plus je me sents apte à faire face... c'est comme si j'avais l'impression de gérer davantage, mais il faut bien être honnête, personne n'est parfait et je ne suis pas wonderwoman, alors comme tout le monde, je fais ce que je peux !

Après cette longue et salutaire période de repos, me revoici donc dans l'arène avec une immense joie !

Fille de militaire, puis femme de militaire, m'adapter je sais faire ! Et heureusement parce qu'entre les déménagements, nos trois Zèbres et mon boulot d'enseignante, la vie est riche d'apprentissage !

Je partagerai avec vous cette vie à 100 à l'heure dans la joie et la bonne humeur toujours et serai ravie d'apprendre aussi de nos échanges à venir !

Le théâtre, la chorale, la course à pied, le vélo, le petit bricolage, les sorties avec ou sans enfant, le cinéma, l'enseignement et biensûr les aléas de la vie d'épouse de militaire avec les départs parfois les inquiétudes mais aussi les joies des nouvelles et des retrouvailles, voilà en gros ce que vous lirez et ce que nous partagerons à travers ce blog !

bonne lecture !